Gina en finale du concours « Si on lisait à voix haute »

Gina en finale du concours « Si on lisait à voix haute »

Gina, une voix qui porte la lecture jusqu’à la finale.

Gina, élève de Terminale au lycée Hyacinthe Bastaraud et candidate à Sciences Po Paris, a été sélectionnée pour la finale du prestigieux concours « Si on lisait à voix haute », organisé par l’émission La Grande Librairie sur France 5. 

C’est sa première participation, et Gina s’y est investie pleinement en choisissant des textes qui lui tiennent à cœur. Après avoir brillamment franchi les deux étapes préliminaires, elle a captivé le jury en présentant, à chaque sélection, un texte de son choix : Desirada de Maryse Condé lors de la première phase, puis le poème L’île lointaine de Daniel Thaly, auteur martiniquais, pour les demi-finales.

Parmi les trois lycéens retenus à l’échelle nationale, elle représente avec fierté son établissement, Marie-Galante et la Guadeloupe.

Actuellement, la Ligue de l’enseignement organise son voyage à Paris ainsi que son hébergement. Les répétitions et l’enregistrement auront lieu au théâtre de la Place d’Italie, et l’émission sera diffusée quelques semaines plus tard.

Une aventure exceptionnelle pour Gina !

Elle confie : « Il me tenait à cœur de choisir des textes d’auteurs antillais. Je me suis entraînée plusieurs fois chez moi et deux fois au sein de l’atelier Sciences Po de mon lycée. Nous nous sommes rendus au collège Gaston Calmet pour réaliser un enregistrement au sein de la Web radio. C’est de la déclamation : il faut savoir mettre le ton au bon endroit, adopter la bonne posture et transmettre les émotions au public. J’ai été agréablement surprise d’être la seule sélectionnée en Outre-mer dans toutes les catégories. Au-delà d’un concours d’éloquence, c’est un concours de lecture. L’objectif est de promouvoir la lecture auprès des jeunes. J’aime lire. »

Gina incarne parfaitement cet esprit en choisissant des textes d’auteurs antillais, soulignant ainsi l’importance de la littérature comme vecteur de culture et de transmission.

Ses parents et la communauté éducative sont évidemment fiers. Le proviseur Jean-Claude Abatan l’a chaleureusement félicitée, tout comme les deux enseignantes responsables de l’atelier Sciences Po qui l’ont accompagnée dans sa préparation, Mmes Maud Prigent et Alexandra Méaude. On lui souhaite de donner le meilleur d’elle-même pour décrocher la victoire !

Huguette IBALOT

Article du France-Antilles Guadeloupe


Une aventure linguistique et écologique en Dominique pour onze lycéens

Une aventure linguistique et écologique en Dominique pour onze lycéens

Baignade à la rivière le groupe.

Onze élèves du lycée polyvalent et professionnel Hyacinthe-Bastaraud ont exploré la Dominique, mêlant pratique de l’anglais, découverte culturelle et engagement pour le tourisme durable, lors d’une semaine inoubliable.

Entre les 12 au 19 avril dernier, onze élèves de la section Européenne du lycée polyvalent et professionnel Hyacinthe-Bastaraud de Marie-Galante, ont vécu une semaine d’immersion linguistique et écologique sur l’île de la Dominique, surnommée « Nature Island ».

Encadrés par deux enseignantes, ils ont visité cette île anglophone, méconnue et pourtant voisine de l’archipel de Guadeloupe.

La pratique de l’anglais, la découverte culturelle et la sensibilisation au tourisme durable étaient au programme.

Une immersion caribéenne très formatrice

La Dominique s’est imposée pour sa proximité géographique et son authenticité. « C’est le pays anglophone le plus proche, visible depuis Marie-Galante, mais paradoxalement mal connu », souligne Maud Prigent, professeure d’histoire et responsable de la section Européenne du lycée Hyacinthe Bastaraud. Le choix du bateau, moins coûteux que l’avion, a permis de concrétiser ce projet, né à la suite d’un voyage exploratoire de Mme Finel, professeure d’anglais, il y a quelques années.

Dans cette île très engagée en matière d’écotourisme, les élèves ont séjourné à Three Rivers, un écolodge de la ville de Rosalie. L’occasion pour eux d’approfondir leurs connaissances sur les enjeux du développement durable, mais aussi de mieux saisir les liens historiques et culturels qui unissent la Dominique et la Guadeloupe à travers le créole et les migrations.

Le temps fort? La journée passée dans la réserve Kalinago,où les lycéens ont partagé un repas à base de produits locaux, avant de s’initier au tressage de paniers et à la sculpture sur noix de coco.

“Ramener un objet fabriqué de leurs mains rend cette expérience inoubliable”, précise Alexandra Méaude, professeure d’espagnol.

Différentes rencontres, avec des agriculteurs, les habitants des villages de Rosalie, Petite Soufrière et Grand-Fonds, les membres d’Ocean conservation et aussi une association qui milite pour la protection des tortues ont rythmé leur séjour.

Autant d’échanges qui ont permis de comprendre la capacité de résilience des Dominiquais après le cyclone Maria en 2017.

Une partie du groupe qui participe à l’atelier de panier tressé.

Des souvenirs pour la vie

Ce voyage a transformé les élèves.

“Certains traversent des moments difficiles. Les voirs épanouis, connectés aux autres et à l’environnement, c’est précieux”, confie l’équipe encadrantes.

Preuve que l’éducation ne se limite pas seulement aux salles de classe. Parfois, il suffit d’oser sortir de sa zone  de confort. Ce fut une opportunité pour les lycéens d’enrichir leurs compétences linguistiques tout en découvrant les joies de l’échange culturel et le plaisir du voyage. Mais aussi de développer des qualités essentielles de la vie en communauté et le respect mutuel, des atouts précieux pour évoluer dans une société multiculturelle.

José PHANOR

Les lycéens en compagnie d’un agriculteur dominiquais.

ILS ONT DIT…

Rebecca, lycéenne

“C’est ma première visite en Dominique, une expérience inoubliable. Découvrir un pays si proche mais si différent culturellement était facinant. La nature luxuante m’a impressionnée, comme la solidarité des habitants face aux défis économiques et catastrophes naturelles. J’ai particulièrement aimé les tyroliennes et les baignades en rivière quotidiennes. Ce voyage nous a premis d’explorer l’île en pratiquant notre anglais.”

Trécy, lycéenne
“Ce n’est pas ma première visite en Dominique, mais cette sortie pédagogique a tout changé pour moi. Les tyroliennes avec cette sensation de liberté en survolant cette belle nature! La journée dans la réserve Kalinago restera gravée dans ma mémoire. Fabriquer mon propre panier tressé sous les conseils des Kalinagos était une première pour moi. Je suis si fière de repartir avec cette création personnelle.”
Maud, professeure d’histoire et de géographie
“Petit imprévu au départ de la Dominique, nous avons dû prendre le ferry à Portsmouth en raison d’une forte houle empêchant l’accostage à Roseau! Cela nous a permis de traverser cette ville du Nord de l’île et sa baie magnifique.”

Maud Prigent et Alexandra Méaude, les professeures.

Une partie du groupe qui participe à l’atelier de panier tressé.

Article France-Antilles Guadeloupe


Nos élèves brillent dans le numérique : programmation, cybersécurité et défis ludiques !

Fin 2024, plus de 650 000 élèves (3806 établissements), dont 59 du Lycée Hyacinthe BASTARAUD, ont relevé le défi du concours Castor Informatique. Ce challenge mêlant algorithmes, logique et résolution de problèmes a captivé nos élèves (Seconde SNT, Première et Terminale NSI). Parmi eux, certains se sont particulièrement distingués : Joah, Oscar, Kenly et Bambou (Seconde), avec une mention spéciale pour Jasmin. Côté Première NSI, Jaé et Aaron ont brillé, tandis qu’en Terminale NSI, Rebecca, Adil et Evan ont réalisé des performances remarquables.

Mais l’aventure numérique ne s’arrête pas là !

 

Plongée dans la cybersécurité avec “Passe Ton Hack D’abord”

Les passionnés de cybersécurité ont eu leur propre défi : le “Passe Ton Hack D’abord”, un challenge de type Capture The Flag qui s’est déroulé de janvier à février. Six équipes du lycée ont plongé dans l’univers palpitant de la sécurité informatique, développant des compétences essentielles dans un secteur en pleine expansion. Félicitations à tous les participants, et en particulier à l’équipe “Steamrollers” (Rebecca, Mikael, Jean-Baptiste et Adil), ainsi qu’à “Maracudja”, trio féminin (Ohana, Mélyssa et Lise) qui a relevé ce challenge en classe de Seconde !

 

De nouveaux défis en programmation

Portés par leur succès, nos lauréats du concours Castor participent désormais au concours Algoréa qui réunit près de 250 000 compétiteurs. La phase de qualification, composée de trois tours, se poursuivra jusqu’en mai. Une occasion unique de perfectionner leurs compétences en codage !

 

“La Nuit du Code” : un marathon créatif et collaboratif

Et ce n’est pas fini ! Nos élèves de Première et Terminale NSI se préparent déjà à la 3ème édition de “La Nuit du Code”, organisée au Lycée en mai. Ce marathon de 6 heures combiné, programmation, créativité, design et travail d’équipe. Une expérience immersive et intense qui mettra à l’épreuve leur ingéniosité et leur esprit collaboratif !

 

Rejoignez l’aventure numérique !

 

L’informatique ouvre un monde d’opportunités et nos élèves en sont la preuve vivante. Que vous soyez curieux, passionné ou simplement prêt à relever un défi, de nombreuses occasions vous attendent pour explorer, apprendre et coder.

Restez connectés, le numérique n’a pas fini de vous surprendre au Lycée Hyacinthe BASTARAUD !

 

CANCAN M.
Sciences Numériques et Technologie Numérique et Sciences Informatiques

 


Prix de l’Excellence Economique de Guadeloupe

Prix de l’Excellence Economique de Guadeloupe

La cérémonie de remise du Prix de l’excellence économique était organisée, mercredi 15 janvier. Les 5 premiers lauréats ont été félicités.

Les 5 lauréats du prix d’excellence économique (de gauche à droite, Jacky Lancastre, Ludmila Zig, Djibril Valétudie, Hanna Brasseur et Christy Joseph), François Gros, directeur de l’Iedom (à gauche) et Donald Foliwe IA-IPR d’économie-gestion (à droite).

Par Bérengère MERLOT b. merlot@agmedias.fr

Le sujet était « le ralentissement de la productivité française ». Il a inspiré Hanna Brasseur, félicitée lors la remise du prix de l’excellence économique, mercredi 15 janvier, à l’Institut d’émission des départements d’outre-mer (Iedom). Sa copie a été estimée la meilleure de toutes, par le jury académique. « Je n’aurais jamais pensé être là, devant vous », dit la jeune femme, élève au lycée général et technologique (LGT) de Baimbridge, aux Abymes. C’est la 5è édition de ce concours national. Les quatre autres valeureux lauréats sont, dans l’ordre, Jacky Lancastre, Ludmila Zig, Christy Joseph et Djibril Valétudie. Ils étaient conviés avec leurs parents et leurs enseignants.

190 participants dans l’académie

Ce concours s’adresse aux élèves de terminale de la filière sciences et techniques du management (STMG) des lycées de Guadeloupe. « C’est une épreuve de 4 heures qui a eu lieu en décembre. Les candidats volontaires doivent plancher sur une thématique économique. Ce qui diffère d’un sujet classique d’examen, c’est qu’il n’y a pas de question. C’est aux élèves de trouver une ligne directrice. À l’aide de documents et de leurs connaissances, ils doivent rédiger un écrit personnel et problématiser, en respectant l’argumentation et la présentation de la copie », explique Donald Foliwe, inspecteur d’académie (IA) et inspecteur pédagogique régional (IPR) en économie gestion et doyen des IA-IPR. Il représentait la rectrice de l’académie, Christine Gangloff­Ziegler. 10 000 élèves avaient planché en même temps, en France, sur ce sujet.

Un concours exigeant

Les élèves doivent aussi faire preuve d’une réelle capacité de réflexion économique sur le sujet proposé et montrer une prise de recul personnelle. « Est recherché aussi dans les copies, la preuve d’un certain sens critique », reprend Donald Foliwe. Il s’agit de participer à la formation de jeunes citoyens éclairés. L’objectif est d’amener les jeunes à comprendre les grands enjeux du monde économique contemporain et à être curieux. Notre actualité en regorge : la vie chère en outre-mer, le déficit des finances publiques et les solutions proposées pour le réduire, l’accord entre l’Europe et le Mercosur. « L’économie m’a permis de mieux comprendre le système français. Ce prix me pousse à continuer à m’améliorer. Je veux participer au mieux au fonctionnement de la société, notamment par la poursuite de mes études dans une école de commerce », émet Hanna Brasseur, devant l’assemblée. Sa copie a été envoyée en France et sera confrontée à celles des autres élèves, dans la course au prix d’excellence économique national.

Donald Foliwe, inspecteur pédagogique régional en économie-gestion.

Ils ont dit…

François Groh, directeur de l’ledom

« Ce prix est à l’initiative de la Banque de France, de l’Institut d’émission des départements d’outre-mer (ledom) et du ministère de l’Éducation nationale. Il touche de près parce que je suis moi-même issu de la filière sciences et techniques du management (STMG). Il est important de souligner que cette filière porte en responsabilité. Certes, il faut travailler, mais comme dans toutes les filières.

François Groh, directeur de l’IEDOM Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy

L’ledom a créé ce prix en 2017. L’Europe a fait une étude sur le niveau économique des populations européennes et la France est ressortie très loin dans le classement, début 2010. Le gouvernement français a alors pris des décisions pour essayer de doper la culture économique de la population française. Elle a désigné la Banque de France et les instituts pour être les opérateurs nationaux de l’éducation financière et budgétaire des publics. Nous avons créé un site qui s’appelle Mes questions d’argent. Il existe aussi Mes questions d’entrepreneur qui permet de trouver des réponses neutres, non payantes et correctes quand on se pose des questions financières. »

Andrea Carnier, enseignante en management au lycée des droits de l’homme, à Petit-Bourg

« La participation des élèves est facultative donc leur participation démontre leur curiosité et leur engagement. Les parents leur ont transmis la persévérance et le goût de l’effort.

On a fait peu de temps de préparation. On a surtout axé sur la méthodologie pour qu’ils aient une certaine rigueur et qu’ils respectent les codes de l’exercice.

C’est mon collègue, monsieur Kancel, qui est leur professeur d’économie-droit. Je suis leur enseignante en management. Ce sont surtout eux qui ont bien travaillé. Susciter l’envie, la curiosité, leur donner envie, ça fait déjà une différence.»

Andréa Camier, enseignante en management au Lycée des droits de l’homme de Petit-Bourg

Ressource – FRANCE-ANTILLES GUADELOUPE – MARDI 21 JANVIER 2025


Faire travailler son imagination en anglais, c’est possible !

Faire travailler son imagination en anglais, c’est possible !

 

La production de Rebecca et Jean-Baptiste (1G1, section euro), a été choisie pour figurer sur le site web du magazine SPEAKEASY NEWS des éditions Nathan dans le cadre d’un concours d’écriture créative (creative writing) inspirée par le sport et les jeux olympiques (niveau B1+).

Un grand bravo à ces deux jeunes talents qui se sont distingués parmi des milliers de participants lors d’un concours national ! Pas de prix à proprement parler pour eux mais la satisfation d’avoir réussi à séduire le jury avec l’histoire originale que voici :

 

The Unbearable

Yuri was a little boy, about 10 years old, when he got lost in the woods of the Tatras in Slovakia and just stayed there. At 18 he was tough, smart and agile. He would play fight with bears every day, race against deer and catch fish with his bare hands.
One day, he heard a chainsaw in the distance and went to see what was happening. A big company was planning to cut down the forest. He wished to stop them but he didn’t know how, so he went back to the city to find an answer. There, he saw a poster for a big MMA tournament. The FFYD: Fight For Your Dream. The winner got his wish granted. The only requirement was to have a dream. For Yuri, this was an opportunity.

He won the first fights by mimicking his opponents’ style because he didn’t trust in his own skills. In the final his opponent was a world class MMA wrestler whose dream was just to crush other’s dreams. The first round began and Yuri got smashed, he didn’t have time to mimic his opponent for he was too quick. The second round was no better. It all came down to the third and final round…

Yuri, facing defeat, realized something important. He was not being himself, he wasn’t fighting like he had learned to in the forest. As he stepped into the ring, his opponent was stunned. With his newly found confidence Yuri had become as strong as a bear. He charged with rage, his ambition stronger than ever. The wrestler was overwhelmed by a rain of fists and got knocked out instantly. Yuri won! He then returned to the forest, forever remembered as the legendary fighter, the Unbearable, and was never bothered by tree cutters again.

 

Pour consulter la publication en ligne et lire les histoires des autres lauréats, cliquez ici :

 

Mme FINEL

Professeur d’anglais


Dans les coulisses de Meurtres au Paradis

Dans les coulisses de Meurtres au Paradis

La série policière télévisée franco-britannique Meurtres au Paradis qui est filmée principalement en Guadeloupe jouit d’un immense succès non seulement en France et au Royaume-Uni mais aussi dans de nombreux autres pays. Cette année à nouveau une équipe de tournage est retournée à Deshaies pour en filmer la 14ème saison. Ils ont eu la gentillesse d’accueillir onze de nos élèves de Première générale, accompagnés de deux professeurs d’anglais M. Stepan CHLUD et de Mme Judith FINEL, pour une visite de leur base et de leur plateau. Une opportunité que certains touristes venus de loin dans le seul but de se plonger dans l’atmosphère des lieux et du tournage pourraient leur envier. À juste titre d’ailleurs !

Les épisodes qui sont diffusés sur France 2 et 3 sont en fait doublés en français car lorsqu’ils tournés, tout se fait principalement dans la langue de Shakespeare. Outre les acteurs qui sont tous anglais, une partie des professionnels avec qui les élèves ont pu échanger viennent d’Angleterre et se sont donc exprimés dans leur langue maternelle, l’occasion pour nos élèves de se familiariser avec le monde du cinéma tout en mobilisant leurs compétences langagières de compréhension et expression orales.

Grâce à la grande disponibilité d’un des assistants de production, Monsieur Théo ROUECHE, ils ont pu d’abord découvrir la base, qui gère la logistique et permet aux acteurs de se préparer avant les prises et de se restaurer, puis se rendre au poste de police Honoré où l’on filmait ce jour là, sans oublier la visite d’un autre lieu emblématique de la série, le fameux Catherine’s bar, et une courte incursion dans le local où sont entreposés les costumes au fil des années. Une véritable immersion dans les coulisses d’un tournage !

Tout au long de la journée, les élèves ont pu échanger librement avec un large éventail de professionnels, dont en particulier, une costumière, une habilleuse, un assistant de réalisation, un directeur de production, un acteur, responsable casting figuration, un éclairagiste et un technicien « grip », et même un producteur. Tous ont vraiment cherché à leur donner un aperçu de leurs métiers respectifs et à les aider à comprendre les spécificités d’une production franco-britannique. Les échanges ont donc été fort enrichissants.

Pour ceux qui souhaitent se lancer dans le cinéma, sachez qu’il est possible de débuter tout en bas de l’échelle et de progressivement se voir proposer des postes de plus en plus intéressants et gratifiants, à condition d’être prêt à se former. Trois conseils à retenir pour faire bonne impression: ponctualité, amabilité et sérieux ! Bien entendu, la maîtrise de l’anglais est un plus en ce qui concerne la série Meurtres au Paradis. Enfin l’équipe de la fameuse série examine volontiers les demandes de stages. Avis aux personnes intéressées !

Mais pour ce qui est de la saison 14 … motus et bouche cousue … !

Le 5 juin 2024

Judith FINEL

Professeure d’anglais (tronc commun, Section euro, Spécialité LLCER)


Deuxième édition de la Nuit du C0de au Lycée Hyacinthe Bastaraud

Deuxième édition de la Nuit du C0de au Lycée Hyacinthe Bastaraud

 

Le 25 mai dernier, le Lycée Hyacinthe BASTARAUD accueillait pour la deuxième année consécutive la “Nuit du C0de“, évènement international qui s’adresse aux établissements scolaires français et francophones partout dans le monde.

Depuis sa création en 2016, ce marathon de programmation durant lequel les élèves, par équipe de deux ou trois, ont 6 heures pour coder un jeu avec Scratch (au collège) ou Python/Pyxel (au lycée), n’a cessé de prendre de l’ampleur. Les chiffres de l’édition 2024 en attestent : 463 établissements inscrits (dont 4 pour l’académie de Guadeloupe), 11585 élèves, 347 villes et 51 pays.

Un effectif de participants plus important et diversifié

Fort de sa première participation réussie, notre lycée a relevé le défi d’accueillir cette année un plus grand nombre d’élèves et d’encadrants. 5 équipes issues des classes de première et terminale de la spécialité Numérique et Sciences Informatiques (NSI), ont pris part à l’évènement, soit un total de 13 élèves, dont 3 filles que nous félicitons chaleureusement (Girls can code : stages d’informatique pour les collégiennes et lycéennes, débuter en programmation et continuer à coder).

Une nouvelle formule enrichie

Plusieurs nouveautés sont venues compléter l’expérience :

  •  Une évaluation entre pairs inédite et formatrice : les équipes de terminale notant les productions des équipes de première, et inversement, selon des critères précis.
  • Un temps d’échange et une série de démonstrations des jeux créés, pour clôturer les 6 heures de programmation intensives.
  • Une équipe de professeurs, encadrants/évaluateurs étoffée :

– Mme BARCA-CYSIQUE (coordonnatrice des Cordées de la réussite), M. LAPORAL, M. VIARDOT et M. CANCAN, du lycée H. BASTARAUD,

– M. BERNARD du lycée de BAIMBRIDGE,

– M. PIERROT de l’académie de Mayotte.

Récompenses et qualification internationale

Cette Nuit du Code a été une véritable fête de la programmation, alliant concentration, créativité, travail d’équipe, exploration de nouveaux univers vidéoludiques et échanges bienveillants entre pairs, le tout accompagné d’un petit déjeuner et d’un déjeuner pour recharger les batteries.

À l’issue des présentations et des évaluations, une équipe a été désignée vainqueur pour chaque niveau (cliquez ici, pour accéder aux deux productions) :

  •  En première : BIT MASTER, composée de Rebecca, Adil et Mikael, pour le jeu « Treasure Hole! ». Équipe également qualifiée pour le concours international de la Nuit du C0de !
  • En terminale : YTP_FLOW, composée de Saïna et Bethkove, pour le jeu « War Co-Player ».

Un succès à renouveler pour l’avenir

Ce succès renouvelé incite d’ores et déjà les futurs élèves de la spécialité NSI à perfectionner leurs compétences de codage et encourage le lycée, co-organisateur de cette manifestation, à préparer activement l’édition 2025 de la Nuit du C0de !

Merci aux élèves, aux encadrants/évaluateurs, au personnel ATOSS, au service de gestion, à M. Laurent ABBAL organisateur et créateur de la Nuit du C0de et à la direction de l’Établissement.

 

M. CANCAN                                                                                                                        M. ABATAN

Enseignant en Numérique et Sciences Informatiques                                               Proviseur du lycée

Coordonnateur des concours

2e édition de la Nuit du C0de au Lycée Hyacinthe BASTARAUD5

 


Concours de maquillages mexicains – 17 octobre 2023

Concours de maquillages mexicains – 17 octobre 2023

 

Grand succès de notre projet pédagogique fédérateur associant les 3 classes de 1ère générale et technologique et la 1ère professionnelle AGORA. 

Merci à tous les élèves et les collègues ayant participé et contribué à faire de cet événement un moment festif et convivial.

 

 

 

Mme Querrant, Mme Pastor, Mme Méaude